Une semaine après les débuts de la MLS, c’est au tour de la United Soccer League Championship (USL Championship) de lancer sa saison aujourd’hui. Culture Soccer vous a donc concocté un petit guide afin d’être prêt pour la saison 2020 de la deuxième division américaine. Cette année, 35 franchises, dont deux nouveaux clubs, tenteront de remporter la Coupe USL. Pour la dixième saison de l’histoire de la USL Championship, il y aura 17 équipes dans la conférence Est et 18 dans l’Ouest. Seulement dix clubs par conférence pourront se qualifier en playoffs qui débuteront vers la fin octobre.
Lire Aussi : Jusqu’où ira la Fulgurante Ascension de la USL ?
La Conférence Est
Les clubs qui seront au sommet :

Indy Eleven
Indy Eleven est l’un des clubs phares de l’USL et pas seulement en tribune, où des milliers de fans sont présents chaque semaine. Il a été à la hauteur des attentes en 2019 en passant tout près du titre avec une finale de conférence. Le club a profité de la saison morte afin de peaufiner son effectif. Tout d’abord, en défense, le club est allé chercher l’un des meilleurs latéraux de la USL League One avec Connor Antley en provenance du Tormenta FC. Ils ont profité de la disparition du Ottawa Fury pour recruter l’un des meilleurs latéraux droits canadiens avec Carl Haworth qui a un instinct offensif non négligeable (dix buts et neuf passes décisives). Finalement, le club reçut en prêt deux espoirs américains avec le milieu Cameron Lindley d’Orlando City SC, puis l’ailier d’Atlanta United, Andrew Carleton. Bref, Indy Eleven s’est surtout renforcé en profondeur et risque d’être au sommet de la conférence Est en fin d’année avec Evan Newton dans les buts, des tauliers en défense comme Neveal Hackshaw, Karl Ouimette ou bien Ayoze et surtout un ailier qui fait la différence dans les fins de match avec Tyler Pasher. Pour en savoir plus sur le club, nous vous recommandons cet article.

Louisville City FC
Louisville nous a donné de fortes émotions la saison dernière avec des prolongations stressantes en séries éliminatoires, mais malheureusement, les hommes de John Hackworth ont chuté en finale et n’ont pas pu rafler par la même occasion un troisième titre consécutif. Le club s’est donc retroussé les manches avec un mercato hivernal de haut niveau. En effet, ils ont recruté trois joueurs appartenant à des clubs MLS. Tout d’abord, le défenseur central Jimmy Ockford des Earthquakes de San José, le milieu de terrain du FC Cincinnati, Corden Bone et, en prêt, Louisville a enregistré le retour de sa légende vivante; Cameron Lancaster. En effet, le buteur anglais revient au Kentucky pour se remettre en confiance après une saison 2019 remplie de pépins physiques avec le Nashville SC. Toutes ses additions viennent renforcer un groupe déjà solide mettant en vedette Sean Totsch, Oscar Jimenez, Luke Spencer et Magnus Rasmussen qu’on vous avait présenté quelques mois plus tôt.

Pittsburgh Riverhounds
Les Riverhounds ont perdu beaucoup de qualité cet hiver avec les départs de Joe Greenspan, Kyle Morton ou bien Neco Brett. Toutefois, il ne faut pas négliger le club de la Pennsylvanie. En effet, il ne faut jamais sous-estimer ceux qui ont conclu la précédente campagne à la première place. Avec Bob Lilley, les jaunes et noirs risquent d’être encore une fois compétitifs. Pour remplacer les départs, le club a signé le défenseur central Skylar Thomas du Valour FC, le milieu Tony Walls (Chattanooga) que Lilley connait bien (de l’époque du Rochester Rhino) et le buteur ghanéen Ropapa Mensah du Nashville SC. L’effectif est juste, mais sans de grosses et longues blessures, les Riverhounds risquent d’avoir une autre belle saison. Le milieu français Thomas Vancaeyezeele sera encore une fois à surveiller, lui qui augmente d’un cran son niveau de jeu chaque saison.

Tampa Bay Rowdies
Les Rowdies ont lutté pour les premières places lors de la dernière saison et cela risque de se reproduire encore une fois cette année. Malgré quelques départs importants (John McCarthy, Caleb Richards ou bien Papé Diakité), l’un des plus vieux clubs de la Floride a su se renforcer. Tout d’abord, au poste de gardien de but, les Rowdies ont signé Evan Louro, l’un des meilleurs gardiens en USL avec 80 titularisations depuis 2016. En défense, les signatures phares sont Forrest Lasso du FC Cincinnati et Jordan Scarlett des Red Bulls de New York. Au milieu, les verts et jaunes ont signé le milieu anglais Lewis Hilton en provenance de Saint-Louis. En attaque, le club pourra encore une fois compter sur Sebastian Guenzatti, Lucky Mkosana et Juan Tejada en plus de Kyle Murphy qui est arrivé en provenance du Loudoun United. Cette saison, Tampa Bay pourrait se retrouver en tête, même si, cette fois, elle passe un peu sous les radars. En effet, si les nouveaux venus tels que Evan Louro et Forrest Lasso s’adaptent bien au club, la défense des Rowdies risque d’être l’une des meilleurs de l’Est.
Le nouveau venu:

Miami FC
Le Miami FC fait enfin son retour en division deux. Après avoir très bien fait en NASL, le Miami FC risque de refaire parler de lui le club de la Floride a très bien recruté cette année. Étant le seul club professionnel en action à Miami même (l’Inter Miami de la MLS joue à 45 minutes de la ville de Miami), les oranges et bleus ont des cartes à jouer afin de reconstruire une bonne fan base. Au niveau sportif, le club appartenant Riccardo Silva a resigné un noyau de joueurs en provenance de la NISA/NPSL afin d’avoir une profondeur de banc connaissant la culture du club. Cela risque d’aider dans la transition. Afin d’être compétitifs, les oranges et bleus ont également très bien investi. Au poste de gardien de but, ils ont recruté l’ancien joueur du Forward Madison, Brian Sylvestre. En défense centrale, le club aura une charnière très physique avec Hassan N’Dam (FC Cincinnati) et Lawrence Olum (Minnesota United). Au milieu, le club s’est laissé tenter par le Français Vincent Bezecourt (NY Red Bulls) et le Colombien Sebastien Velazquez (El Paso). Le duo franco-colombien risque de servir à la perfection l’un des meilleurs buteurs jamaïcains, Romario Williams. À son dernier passage en USL, il avait dominé que ce soit avec Charleston ou avec la réserve d’Atlanta.
Ceux qui pourraient surprendre :

Birmingham Legion FC
Birmingham a bien fait pour sa saison inaugurale en 2019. Après un début de campagne difficile, le club a été l’un des plus constants en deuxième partie de saison. Malheureusement, le Legion a subi une défaite cinglante de 7-1 au premier tour des séries face aux Riverhounds de Pittsburgh. Le club aurait très bien pu en rester là et tenter de faire revenir le maximum de joueurs, mais la franchise de l’Alabama a fait quelques signatures de très haute qualité. En effet, Birmingham est allé chercher en MLS et plus précisément à Columbus, en signant le défenseur Alex Crognale. Au milieu, le club a pris un des meilleurs milieux défensifs de la ligue en la personne de Bolu Akinyode qui aurait très bien pu suivre Nashville en MLS. Finalement, le club a trouvé un partenaire offensif d’exception à Chandler Hoffman et à l’espoir canadien Brian Wright, alors que Neco Brett fait son arrivée à Birmingham. Le Jamaïcain est tout simplement l’un des meilleurs buteurs en USL avec dix-sept buts et sept passes décisives lors de la dernière saison.

Charlotte Independence
La saison de Charlotte a été gâchée dès le début de la saison en 2019 avec plusieurs défaites d’affilés toutefois, les hommes de Mike Jeffries ont bien terminé, ayant raté les playoffs de quelques points seulement. Jeffries a donc décidé d’y aller avec la stabilité tout en recrutant deux très bons joueurs; Duke Lacroix (Latéral, Reno 1868 FC) et Dane Kelly (Buteur, Indy Eleven). De plus, le club est allé à l’étranger en recrutant le Congolais Brunallergene Etou de l’AS Bézier qui apportera son expérience au milieu de terrain. À noter, le départ à la retraite de Jorge Herrera. À Charlotte depuis 2007 (d’abord avec les Eagles, puis avec l’Independence), le Colombien a marqué la ville avec plus d’une centaine de buts en 280 apparitions. Un grand joueur part, mais surtout une figure importante du vestiaire. Malgré ce départ, Charlotte pourra compter sur des cadres clés tels que Hugh Roberts et Joel Johnson en défense et Kevan George au milieu en plus d’un duo Enzo Martinez-Dane Kelly qui risque d’être très production à l’attaque afin de se battre pour une place en série.

North Carolina FC
Le club de la Caroline du Nord a bien fait lors de la saison 2019 avec une honnête 7e place. L’ancien sélectionneur américain, Dave Sarachan, a donc opté pour la stabilité pour 2020 puisque l’effectif est pratiquement le même. En défense, la principale recrue est l’ancien latéral droit du DC United, Akeem Ward dont nous vous parlions ici. Au milieu, il n’y a pas eu de recrue importante si ce n’est le renouvellement du prêt de Manny Perez et le retour de Nazmi Albadawi, qui était revenu au club en 2019 en provenance du FC Cincinnati. La grosse signature est en attaque, puisque les bleus devaient remplacer Mario Lomis parti à El Paso Le club a signé l’ancien attaquant du Fury d’Ottawa, Hadji Barry. L’international guinéen a inscrit un total de six buts et une passe décisive en seulement 1000 minutes de jeu.
Finalement, il ne faut pas sous-estimer les autres clubs qui auront tous leurs cartes à jouer. Excepté les réserves qui risquent d’avoir des difficultés cette saison, des clubs comme Saint-Louis, Charleston ou bien Memphis pourraient très bien se battre pour une place en playoffs.
La Conférence Ouest
Les clubs qui seront au sommet :

El Paso Locomotive
El Paso a eu une saison d’expansion de rêve en 2019 en atteignant la finale de conférence, perdue face au futur champion, les Real Monarchs. Le club a fait quelques ajouts clés durant la offseason afin d’être un véritable candidat pour les pôles positions dans la conférence Ouest. Le Locomotive a solidifié son milieu avec les signatures de Saaed Robinson des Colorado Springs Switchbacks, Distel Zola du Tours FC et Fabrice Fokobo du Sporting Portugal. Finalement, El Paso a recruté l’un des meilleurs buteurs de la conférence Est, Mario Lomis en provenance du North Carolina FC afin de remplacer Jerome Kiesewetter parti à l’Inter Miami. Il sera intéressant de voir si Lomis s’acclimatera bien à Omar Salgado et au milieu offensif Alexy Bosetti.

Phoenix Risising FC
Le club de Didier Drogba et de Tiesto risque d’être, encore une fois, le favori en 2020. Malgré le départ d’Adam Jahn à Atlanta en MLS, le club de l’Arizona s’est encore plus renforcé.Tout d’abord, ils ont signé l’international azerbaïdjanais Rufat Dadashov qui a surtout évolué dans les divisions inférieures germaniques. Toutefois, ça ne s’arrêtait pas là. En effet, ils ont ajouté de la profondeur sur toutes les lignes avec les arrivées de Darnell King (Nashville SC) en défense, Jordan Schweitzer (Colorado Spring Switchbacks) et Jack Barmby (San Antonio FC) au milieu, puis Santi Moar (New Mexico United) et Lagos Kunga (Atlanta United) en attaque. Avec le coach of the year 2019, Rick Schantz, et des éléments offensifs explosifs tels que Solomon Asante et Junior Flemmings, il est possible de croire que le club risque d’encore une fois battre tous les records! Ce club serait une addition à ne pas négliger pour la MLS, eux qui ont toujours exprimé leur intention de monter en première division.

Real Monarchs SLC
La réserve du Real Salt Lake a été incroyable en 2019 avec un titre à la surprise générale face à Louisville. Malheureusement pour eux, lorsque les réserves font bien, plusieurs joueurs quittent le navire, soit avec l’équipe première ou bien avec d’autres clubs ailleurs dans la ligue ou en MLS. Les Monarchs ont donc perdu beaucoup de leurs atouts, mais ils ont réussi à bien les remplacer. Ils ont même recruté un joueur ayant évolué dans l’édition 2018 de la Coupe du monde en la personne de Ricardo Ávila, évoluant auparavant avec CD Universitario au Panama. Taylor Peay fait également son retour en Utah, tandis que la pépite du FC Dallas, Arturo Rodriguez fait son arrivée pour remplacer les excellentes performances de Maikel Chang et Douglas Martinez, tous deux promus avec le Real Salt Lake en MLS. Il sera intéressant de voir qui sera la nouvelle pépite de l’Académie à s’imposer avec la réserve. Pour en savoir plus sur cette réserve qui est si importante pour l’équipe première, voici un article sur le Real Salt Lake.
Le nouveau venu:

San Diego Loyal
San Diego a fait du bruit depuis son annonce d’expansion en USL. En effet, mené par la légende vivante du soccer américain Landon Donovan, le Loyal SC a tout pour réussir, et ce dès sa première année. Avec des joueurs expérimentés à tous les postes, San Diego n’aura rien à envier aux autres clubs de sa conférence. En défense, le Loyal a signé un joueur expérimenté de MLS en la personne de Sal Zizzo, première recrue de l’histoire du club, avant de signer le défenseur de l’année en 2019, Joe Greenspan et l’excellent défenseur Emrah Klimenta, qui n’avait pas percer en MLS avec le LA Galaxy en 2018. Au milieu, le club a signé Collin Martin du Minnesota United, Eric Avila du Birmingham Legion, qui connait donc les réalités d’une expansion, et Raul Mendiola du Reno 1868 FC qui fera office de numéro 10. D’ailleurs, il retrouvera son ancien coéquipier au Las Vegas Lights, Irvin Parra. Le duo Mendiola-Parra est donc de retour et cela risque d’être dangereux. Bref, le Loyal a recruté des joueurs très expérimentés avec beaucoup de talent. Ce qui risque de peut-être jouer en leur défaveur est la profondeur, puisque plusieurs joueurs sont inconnus du grand public en dehors du XI type.
Ceux qui pourraient surprendre :

Colorado Springs Switchbacks
En 2019, les Switchbacks ont été la pire équipe de l’Ouest. Avec la construction d’un nouveau stade sous peu, la direction devait faire des changements clairs et nets afin d’attirer de nouveaux partisans ce qui se traduit souvent par l’acquisition de joueurs plus renommés. Le tout a débuté vers la fin de la saison 2019 avec l’embauche d’Alan Koch, l’ancien entraineur du FC Cincinnati. Toutefois, le Sud-africain avait beaucoup de boulot devant lui afin de bâtir un club compétitif. Avec une défense qui encaissait environ deux buts par match en moyenne et une attaque qui peinait à convertir une occasion par rencontre, pratiquement tout l’effectif était à changer. En défense, le club a notamment signé le latéral gauche Juan Cervos, qui évoluait avec le FC Andorra en troisième division espagnole et accueille deux joueurs en prêt en provenance des Rapids du Colorado, Abdul Rwatubyaye et Sebastian Anderson. Au milieu, les grandes signatures sont le japonais Hiroki Kurimoto en provenance du Fresno FC et l’espoir canadien Aidan Daniels en provenance du Toronto FC. Toutefois, c’est du côté offensif que le club s’est le plus amélioré avec l’arrivée d’un trio offensif qui risque de faire mal aux défenses de USL. En effet, l’espoir canadien Mamadi Camara arrive du côté des Rocheuses après avoir été repêché par les Earthquakes de San José en 2019 aux côtés de Niki Jackson (en prêt du Rapids du Colorado) et George Lebese (Mamelodi Sundowns FC), ailier expérimenté de la première division sudafricaine.

FC Tulsa
Tulsa est clairement le club qui a eu la meilleure marge de progression dans la conférence Ouest durant la saison morte. Tout d’abord, le club a changé de propriétaire et du même fait de nom. Le Tulsa Roughnecks est devenu le FC Tulsa. L’équipe derrière ce rebranding a fait du très bon boulot, puisqu’elle sut moderniser le logo et l’identité même de la franchise sans s’attirer les foudres des fans. Toutefois, l’avant-dernier de 2019 avait surtout beaucoup de travail sportivement et il faut concéder qu’ils l’ont fait de brillante façon. Les recrues phares en défense sont Bradley Bourgeois, ancien défenseur du Nashville SC qui fait son retour à Tulsa et Maicon, ancien international espoir brésilien qui risque d’avoir un impact immédiat en USL. Au milieu, Tulsa a signé Eric Bird du Dynamo de Houston, Raphael Ayagwa de la première division Nigériane, en plus d’aller chercher l’un des meilleurs milieux offensifs de la ligue en la personne de Lebo Moloto, anciennement avec Nashville SC. À l’attaque, le club a fait un total renouveau avec un duo de joueurs Cubains en provenance du Miami FC, Dario Suarez et Ariel Martinez, ainsi que Mfon Udoh de la première division Nigériane. Bref, plusieurs joueurs sont à confirmer, n’ayant jamais évolué en USL, mais il faut avouer que le potentiel y est.

Orange County SC
Après avoir terminé en première position de la conférence Ouest en 2018, la saison 2019 a été un peu moins convaincante avec une 5e place. L’un des meilleurs clubs formateurs en USL à cependant essayé de remédier à tout ça en recrutant des joueurs expérimentés en USL. En effet, l’ancien milieu de Reno 1868 FC, Seth Casiple arrive en Californie, tandis que Thomas Enevoldsen fait son retour avec OCSC. De plus, Sean Koli revient aux États-Unis, lui qui avait été nommé MVP de la ligue en 2016 avec le FC Cincinnati. De plus, un nouveau partenariat avec les Rangers en Nouvelle-Écosse amène trois joueurs écossais à fort potentiel (Cammy Palmer, Danny Finlayson et Matthew Shiels). D’ailleurs, ce partenariat à permis au plus jeune joueur professionnel de tout l’histoire du soccer américain, Francis Jacobs, d’évoluer avec les équipes de jeunes des Rangers. Attention à ne pas sous-estimer les noirs et oranges en 2020.

San Antonio FC
San Antonio a raté les playoffs de peu la saison dernière. Ne voulant pas que cela se reproduise, le club du Texas s’est très bien renforcé. Tout d’abord, au poste de gardien, ils ont réussi à signer en prêt, le gardien espoir canadien Dayne St-Clair de Minnesota United. En défense, le club a signé Blake Smith et Callum Montgomery, en prêt du FC Dallas. Par la suite, deux joueurs sont arrivés pour renforcer le milieu : Victor Pagliari Giro, plus connu sous le nom de ‘PC’, a rejoint le club après des piges en MLS avec Vancouver et Orlando et Zachary Herivaux qui a eu une belle saison à Birmingham. Pour améliorer son attaque, le club rouge et noir a signé l’ancien du Chicago Fire, Luis Solignac qui risque d’avoir un impact immédiat en USL.
À l’ouest, il aurait été possible de parler de tellement de clubs, mais il a fallu faire des choix. En effet, des clubs comme Austin, New Mexico, Sacramento voir même OKC ou Las Vegas peuvent se battre pour les séries éliminatoires. La saison du côté de l’Ouest sera semblable à celle de l’édition 2019 où seulement dix points ont séparé les clubs se trouvant entre la 7e et la 15e position.
En bref, je vous souhaite une belle saison de USL Championship, qui je vous le rappelle est disponible hors des États-Unis gratuitement sur la chaine YouTube de la USL Championship.
One thought on “[Guide] USL Championship 2020”